Le moins qu'on puisse dire, c'est que lire 700 pages de Harry Potter est plus aisé et rapide que d'en lire 700 de Franck Herbert, preuve en est : j'ai fini le dernier opus en environ 2 jours et demi.
Reste que la magie opère toujours, l'histoire glisse lentement vers un côté plus sombre... et pleins d'ambiguïtés ne se résoudront qu'avec le dernier opus... plus qu'à attendre la fin, probablement d'ici deux ou trois ans !